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Belle contre le système, épilogue.
--> suite et fin !

Belle et Eric étaient parti de chez Merlin depuis quelques temps déjà et ils se dirigeaient vers la frontière. Merlin leur avait prêté son vélo, et Belle était assise sur le siège tandis qu’Eric pédalait comme il pouvait. Belle était pensive, elle connaissait maintenant plus ou moins le plan de Belle-mère, mais elle n’était pas sure de la marche à suivre. Elle savait qu’il y avait un genre de machin qui contrôlait l’esprit des gens et qu’elle devait absolument, d’une manière ou d’une autre, empêcher cette machination. D’après le livre de Merlin il s’agissait d’un genre d’hypnose à distance. Belle-mère devait se servir des Pin’s pour contrôler les esprits, et il n’existait que deux façons de déjouer le piège. La première consistait à empêcher la cible de porter le Pin’s, et la deuxième consistait à détruire la machine qui contrôlait l’ensemble. Vu que la solution numéro deux impliquait un retour au château, Belle n’eu d’autre choix que de partir chez les voisins en espérant qu’il n’était pas déjà trop tard.

Après quelques heures de souffrance pour Eric, et de patience pour Belle, ils croisèrent sur leur chemin un homme en armure blanche chevauchant fièrement un fidèle destrier, blanc lui aussi. Il brillait autant qu’une boule à facette. Lorsque Belle l’aperçu elle se raidit d’un coup.

 « Oh mon dieu !! s’écria-t-elle

- Kessya vot’ royauté ? 

- Oh mon dieu, c’est un prince charmant ! Il faut que ça arrive maintenant alors que je suis habillée n’importe comment, au milieu de nulle part !!!

Belle devenait hystérique, elle farfouilla dans ses affaires et elle fini par en sortir un tout petit miroir de poche, un peigne et tout l’attirail de secours prévu pour se genre de situations. Tandis qu’elle se « repoudrait le nez » Belle poussait des petits cris entre excitation retenu et loutre en chaleur.

 « Eric ! Eric !! Cria-t-elle en lui laminant le dos pour qu’il se retourne, comment je suis ? Hein ? Mes cheveux ? Ca va ? Je suis bien maquillée ? J’ai l’air de quoi ? Hein ? Non mais dites moi franchement ?!

Eric n’eu pas le temps de répondre car l’homme était maintenant à quelques mètres. Belle fit un signe a Eric pour qu’il pédale moins vite. Quand ils furent à son niveau Belle pris l’air le plus digne possible et dit avec plus de h que nécessaire « Bonjhour beau cavhalier , hest-ce là le chemin pour la fronthière jhe vous prie ? Mon servitheur…

- Mais chuis pas commença Eric avant de recevoir un coup de coude

- … het moi nous sommes hun peu perdu.

Paul-John enfila ses lunettes. Il regarda d’un œil attentif Belle et Eric, puis il dit :

« Oui , j’crois bien que c’est par là. Enfin si je me suis pas trompé vu que j’ai perdu ma carte la deuxième ou troisième fois que je suis tombé du cheval. Mais j’vous reconnais, vous seriez pas la Princesse Belle des fois ?

- Si, mon douh phrince, c’est bien mhoua. Jhe suis fhlatthée que vouh m’hayez reconnue. Comment vouh happelle-t-on, ô fier charmant ?

- Ben c’est moi, Paul-john ! On jouait dans le même bac à sable quand on était petits tous les deux, vous vous souv’nez pas ?

- Hein ?! Le petit Paul-John ? Celui qu’on surnommait crotte-de-nez ?

- Ben oui, c’est ça c’est bien moi ! Maintenant je suis devenu un Prince Charmant, j’ai le diplôme et tout et tout.

- Holala mais c’est pas du tout ce que j’avais prévu moi. Vous deviez venir me secourir dans la plus haute tour d’un donjon et tuer un dragon. Et moi pendant ce temps, lasse de vous attendre, j’aurais cousu une longue écharpe en fil d’araignée pour conjurer le sors qu’un mauvais mage vous aurait jeté. Enfin je sais pas, le schéma classique quoi!

- Ben les temps changent m’zelle. Et puis, entre nous, il y a plus vraiment de dragon, ni de mauvais mages et tout ça. L’appel de la ville v’voyez. Mais je peux occire une très vilaine et agressive souris si vous voulez ?

- Non…bouda Belle, c’est pas la même chose. Bon mais alors qu’est ce que vous faite ici ? On était en route pour aller chez vous.

- Mission diplomatique ! Mon père m’envoie remercier le vôtre de son présent que nous avons reçu ce matin même.

- Quoi ?! Est-ce que c’était des espèces de truc qui s’accroche aux vêtements ?

- Voui, voilà. Mon père dit que votre père a dû les envoyer car c’est un genre de cadeau de bon voisinage.

Belle n’écoutait plus. Elle réfléchissait. Elle se disait qu’il était déjà trop tard, le président devait être sous le contrôle de Belle-mère. Il ne restait qu’une seule solution pour mettre un terme à tout ça. Une solution qui ne lui plaisait pas, mais alors vraiment pas.

 « Bon, on retourne au château avec vous, je vous expliquerais en route. Il faut faire vite, sinon votre royaume…

- Papa dit que nous devons dire Pays maintenant, coupa Paul-John.

- Bon, que votre pays est en danger.

Tandis qu’ils repartaient vers le château de Belle, non loin de là derrière un arbre, un tout petit dragon repris sa respiration. Il ne comprenait pas ce qu’il lui était arrivé. Un instant plus tôt il cherchait à manger et en une seconde il fut pris d’un genre de peur viscérale, comme génétique. Et sans raison, la peur avait disparu, il en profita pour s’enfuir à toutes pattes.

 

¤

Les gardes du palais à l’entrée du château n’avaient pas souvent l’occasion de s’amuser, ni de s’occuper d’ailleurs. Le plus souvent ils discutaient des choses de la vie, de la création du monde, du rôle de l’homme dans l’univers et ils essayaient de trouver une réponse à l’ultime question de l’humanité depuis l’aube des temps : Aouurraaaghhh ?! Bon enfin ils essayaient plus de comprendre le sens de la question, mais ils ne désespéraient pas de trouver une réponse après ça.

Le garde principal vit arriver au loin trois paysans qui semblaient être en pleine discorde. Il ne voyait pas bien de là où il était mais il aurait juré que l’un d’eux avait des chaussures à talons, et qu’un autre portait une armure.

« Halte-là paysans ! fit-il, quelle est la raison de votre venue au château ? 

Les trois paysans chuchotèrent un instant, puis l’un dit « Nous sommes trois humbles paysans, et nous aimerions avoir une entrevue avec le roi. S’il vous plaît…

- N’importe qui ne peut pas voir le roi, c’est un homme très occupé.

- Ha ! fit un autre paysan, occupé ?! Pap…aïeuh !!

- Ce que mon amie veut dire, dit rapidement le premier en se frottant le coude, c’est que nous nous doutons qu’il est occupé, mais nous voulons lui faire un présent pour le remercier… de ses…euh….bons et loyaux services ?

- Vous n’avez pas besoin de le remercier pour ça, c’est dans sa nature voyons. Trouvez mieux ou vous ne rentrerez pas.

- Euuuuh, on pourrait venir pour, hmmm disons, le remercier pour l’ensemble de sa carrière de roi ?

Le garde pris le temps de la réflexion. Quand on est de faction à une porte seize heures par jour, on n’est pas pressé de trouver la réponse à une question intéressante.

- Ca pourrait marcher, mais il faudrait qu’il soit sur le point de mourir. Et je ne pense pas que ce soit le cas, nous aurions été prévenus.

- Bon alors disons que nous venons lui souhaiter une bonne année… ?

- En plein mois d’avril ?

- Ok ! Ok ! On vient pour son anniversaire ! Voilà ! On voulait pas le dire, c’était censé être une surprise, maintenant tout le monde va être au courant ! J’espère que vous êtes fier de vous !

- Mais l’anniversaire du roi n’était-il pas le mois dernier ?

- Euuuh... si, si bien sur, évidement,  c’est justement ça la surprise, on le fait avec un mois de retard, comme ça il ne s’y attends pas ! Ok ?

- Et bien…

- Pitié ?

- Vous me garderiez une part de gâteau ?

- Oui !!! Promis, voilà ! Vous avez été super, j’adore ce que vous faites, maintenant laissez nous passer !!

Le garde se poussa et les trois paysans empruntèrent le pont-levis. Une fois qu’ils furent entrés et que personne ne regardait, l’un d’eux dit « Eric, soyez gentil, rappelez moi de créer une entrée secrète quand j’aurais réglé tout ça voulez vous ? »

¤

Quelques minutes plus tard Belle et Paul-John étaient arrivés à l’angle du couloir donnant sur la chambre de Belle-mère. Deux gardes étaient en faction devant la porte.

 « Bon, ça ne devrait plus tarder maintenant, fit Belle.

- Vous êtes sure que ça va marcher ?

- Certaine.

A peine eu-t-elle fini sa phrase que l’alerte sonna dans les haut-parleurs du couloir. Les deux gardes quittèrent leur poste en courant, laissant le champ libre pour Belle et Paul-John qui entrèrent dans la chambre.

 - Simple curiosité, qu’est ce que vous avez demandé à Eric de faire ?

 - De lâcher les crocodiles…

Dans l’obscurité de la pièce Paul-John n’était pas sur, mais il avait l’impression que Belle souriait jusqu’aux oreilles. Belle, quant à elle, fouillait l’obscurité. La chambre n’avait pas beaucoup changée depuis la dernière fois qu’elle était venue. Le système de contrôle devait se trouver quelque part.

- Bon, fit Belle, on cherche un gros machin qui pourrait servir à contrôler des gens a distance. Ça doit être assez facile à trouver non ?

- Euh, c’est pas ça la ?

- Non, ça c’est son ordinateur.

- Ah…

Ils cherchèrent en silence pendant quelques instant puis Paul-John dit : « Et ça là peut être ?

- Non, ça c’est sa machine à U.V. pour sa chambre.

- Oh… je vois…

- Et ça alors ?

Belle soupira, elle demanda sans se retourner « A quoi ça ressemble ? »

- Ben, c’est gros, en métal, des boutons, des leviers, un micro…

- Ah bien ! Ca doit être ça, fit Belle en se rapprochant.

- … des écrans de contrôles, des manettes bizarres, encore des boutons…

- Oui, je vois, c’est ça.

- … des post-it un peu partout, d’autres leviers, des dizaines de tasses à café sales…

- Merci Paul-John, c’est bon j’ai vu !

- … Et des photos de chatons dans panier, conclut il.

Belle le regarda avec un air interdit. Paul-John senti qu’on attendait de lui une justification. « Euh….j’aime bien finir mes phrases, avoua t il en raclant le sol de son pied. »

- Bon, repris Belle en se tournant vers la machine, nous y voilà. Il doit y avoir un genre de bouton stop, ou quelque chose comme ça.

- Ne pourrait-on pas tout simplement taper dessus jusqu’à ce qu’elle soit réduite en poussière ?

- Euh, non ça prendrait trop de temps et n’importe comment je suis pas sure qu’en tapant dessus on la désactive. C’est bon pour les films ça. Cherchez donc un bouton stop voulez-vous ?

Tandis que Belle s’énervait à essayer tous les boutons, Paul-John faisait le tour de la bête. Régulièrement Belle marmonnait toute seule.

Pendant ce temps là, à plusieurs dizaines de kilomètres de là, dans son palais, le président ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Il avait envie de se lever puis de s’asseoir et de courir en même temps. Il saisissait un objet qu’il avait furieusement envie de manger et l’instant d’après il était en larme en sautant sur place. Puis il se mit à marcher comme un robot à travers la pièce en chantant. Et soudainement, il s’arrêtât. Il leva prudemment un bras, puis l’autre. Il lâcha un rire nerveux puis s’évanouit.

Dans la chambre de Belle-mère la machine venait de faire piouuuuuuu.

« Paul-John, c’est vous ? Moi je n’ai rien fait !

- Je lui ai ôté la vie en la privant de son essence vitale.

- Hein ?!

- J’l’ai débranchée, fit Paul-John en faisant sauter joyeusement la prise électrique dans sa main.

 

¤

Dans la salle du trône Belle-mère passait un mauvais moment. D’abord on lui avait annoncé qu’on n’avait pas réussi à retrouver Belle, puis on lui dit que les crocodiles s’étaient échappés des douves, et pour finir les serviteurs qui se mettent à agir n’importe comment. Pourtant d’après la notice ils n’étaient pas censé faire ce genre de cabrioles. Elle prit note mentalement de penser à téléphoner au service après-vente. En attendant, elle tapait nerveusement des doigts sur le bord du trône.

Belle et Paul-John débarquèrent en trombe dans la salle « Belle-mère !! cria Belle

- Quoi, encore ?! Ah !! C’est toi ! Gardes emparez vous d’eux !

- C’est la fin Belle-maman, vos petits machins ne marcherons plus à présent ! Nous combattons à armes égales ! Gardes saisissez là !

- Gardes, saisissez ses gardes !

- Ah non, c’est pas du jeu ! Ok Gardes, je vous ordonne de m’obéir je suis la fille du roi, vous me devez respect et allégeance !

- Ah ! Et moi je suis la reine que ça te plaise ou non ! Je suis au dessus de toi dans la hiérarchie !

- J’offre à tous les gardes qui se rebellent contre l’autorité de cette reine de pacotille deux semaines de congés payés !

- Et moi je garde mes pires tortures pour ceux qui oseraient se mutiner…

Avec tout ça les gardes étaient un peu perplexes. Ils n’étaient déjà pas tellement habitués à des situations d’alertes alors ce genre de cas relevait de l’énigme. Ils avaient renoncé à bouger et attendaient que Belle et Belle-mère en finissent avec leurs arguments et qu’elles leur donne une réponse claire et précise..

C’est à ce moment que le roi arriva. Il vit d’un coté sa fille et sa femme en train de se crier dessus, le fils du pays voisin qui essayait de compter les points, les gardes qui s’allumaient des clopes en s’appuyant sur leur lances et en prenant des paris, et des crocodiles qui se baladaient dans les couloirs.

 « SILENCE fit-il et le silence fut. Progressivement, mais il fut. Lorsque toutes les conversation moururent et que tous les regards furent tournés vers lui il repris la parole. Que signifie tout ceci ?

 Belle et Belle-mère se mirent à parler en même temps. Le roi leva la main, elles se turent. « Belle, fit il, peux tu m’expliquer tout ceci ? 

- Et bien papa, voilà, pour tout vous dire, Belle-maman a mis au point un système machiavélique pour envahir le pays voisin !

- Est-ce vrai Gertrude ?

- Et bieeeeeen, fit Belle-mère, c’est plus compliqué que ça…

- Est-ce vrai ou non ?

- Mais… mais c’était pour te faire plaisir !!

- Gardes, arrêtez la.

- Mais enfin, tu ne peux pas faire ça, je suis ta femme, je suis la reine !!!

Pendant les minutes qui suivirent le roi et Belle-mère discutèrent. Ils en arrivèrent à la conclusion que, vu qu’il n’y avait pas eu trop de dégâts, Belle-mère n’irait pas en prison. Par contre elle serait obligée de présenter publiquement ses excuses. Elle devrait aussi abandonner toutes ses expériences chimiques, et elle du promettre qu’elle n’achèterait plus de miroir magique. Enfin, elle du jurer qu’elle deviendrait une personne gentille et aimable. En y réfléchissant, c’était certainement pire que la prison.

¤
 

« Bon, alors c’est décidé vous rentrez chez vous ? demanda Belle à Paul-John tandis qu’ils se trouvaient sur le pas de la porte du palais.

- Oui, j’ai beaucoup à faire chez moi.

- Dites… vous…enfin euh… Pour la première fois de sa vie, Belle était gênée.

- Oui ? demanda patiemment Paul-John.

- Si jamais, vous entendez dire qu’un dragon, même un petit hein, serait de retour dans la région tout ça, ben n’hésitez pas à venir me sauver même si tout à l’air calme quoi… Des fois, les apparences sont trompeuses…

- Ça sera avec plaisir votre altesse, fit Paul-John en enfourchant son cheval.

- Dites, encore une chose ! Est-ce que vous avez vu se reportage sur les chiens à deux têtes ?

La tradition veut qu’ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Mais cette histoire n’a certainement rien de traditionnelle.

 

 

FIN

Ecrit par manzin, le Jeudi 27 Octobre 2005, 00:43 dans la rubrique Instant Culture.

Commentaires :

Delotte
27-10-05 à 04:23

OOOUUUAAAAOOOUUUUUUU c t biiieeeennnnnnnnnnnnnn!! Je viens de mengloutir une bonne partie de ton blog et tu sais quoi??? je me suis meme pas fait chier!!! hihihihi non serieux bravo bravo bravo et puis pendant que jy suis, encore félicitations pr ton taf, et pendant que jy suis encore, on ira au salon du chocolat lannée prochaine??
Aller bisouille crapouille, et arrete de glander, tas du boulot maintenant!!

 
manzin
manzin
27-10-05 à 09:20

Re:

Meerrrccciiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!
Ok, pour le salon du chocolat on ira s'empifrer tout les deux !

bisouilles ma délou, a très vite !

 
Serge
27-10-05 à 11:24

Je viens de lire votre presentation et bien sur qu'il existe des noms plus ridicules.

Je vais continuer de lire plus avant votre blog.

Cordialament.

Serge Piriou.


 
ninoutita
ninoutita
27-10-05 à 21:43

Yahou suis fière de toi ! Parce que de un tu l'as pas baclée, de deux c'est une fin sympatique, de trois y a même un histoire d'amouuuur !
Bravo :)

 
manzin
manzin
27-10-05 à 21:58

Re:

Je suis content parceque j'étais pas sur que ca se verait bien que c'est une histoire d'amour à la fin quand même :p

 
MangakaDine
MangakaDine
28-10-05 à 20:11

Re: Re:

Ouais youpi l'histoire d'amuuur! Manzin fait dans le romantisme!(oui enfin, à sa manière quoi)
Mais franchement, le nom de belle mère....y'a de l'abus, déjà qu'elle était moche à la base...

Enfin bon, hum. A quand la prochaine histoire? L'héroine elle s'appelera Dine, hein dis?

Bisou toi!


 
manzin
manzin
28-10-05 à 20:42

Re: Re: Re:

Oh ben oui, et puis ca sera l'histoire d'une tres jolie et très intelligente jeune fille et pleins de jeunes et beaux garçons très riche viendront la courtiser.
Et puis elle aura pleins de problème pask'elle saura pas lequel choisir.
Aaaaaah que la vie est dure... :p

 
MangakaDine
MangakaDine
28-10-05 à 21:12

Re: Re: Re: Re:

Oh Manzin, que tu es cynique....mais je t'aime quand même va!
Mais c'est vrai que tu as au moins raison sur un point.... J'avoue...je suis très jolie et très intelligente.... (mouahaha) et pour ce qui est du choix, s'il n'y en avait pas? A quand la polygamie?

OK, je sors.


 
Vendredi
Vendredi
29-10-05 à 13:09

Très amusant !

J'imagine plusieurs adaptations pour ce récit : bande dessinée, dessin animé ou film avec des acteurs de la trampe de ceux qui jouent dans Camelot :)
Je suis sûre que ça marcherait !
D'ailleurs, pense à le protéger si ce n'est pas déjà fait.

 
manzin
manzin
29-10-05 à 18:28

Re: Très amusant !

Merci !!

Tu crois que je devrais le protéger? Bah c'est pas comme si je pouvais en faire quelque chose de toute facon, c'est juste pour le plaisir.
Non?
chais po...

Un dessin animé ouais ca serait marrant :p

 
Soutovbretzel
Soutovbretzel
30-10-05 à 19:19

Re: Re: Très amusant !

pouak pouak pouak

je me bidonne


 
chrysalide06
chrysalide06
12-12-05 à 17:45

Youpiiii! Ils vivent heureux et ont beaucoup d'enfants :)

L'espace d'un instant, j'ai eu peur que cela ne se finisse mal :)

Chrysalide

Ps ; J'ai adoré le crépage de chignons entre Belle et sa Belle-mère. "Je suis la fille du roi". "Ouais, mais moi je suis la reine alors ta gueule". Ca m'a fait penser à mes prises de bec matinales avec ma mère, lorsque l'on se battait encore pour savoir qui irait prendre sa douche en premier. Heureusement, la question ne se pose plus maintenant :)