Roller + Paris + Nuit = Grosse Gamelle
Bon voilà hier
soir j'étais objectivement partagé entre deux possibilités.
Soit ne rien faire et terminer la soirée avec une migraine, parce que rester trop devant un écran d'ordi ça me retourne le cerveau.
Soit me motiver un coup et aller sur Paris.
Bon je t'apprend rien, tu a lu le titre, tu sais donc ce que j'ai fais, mais voilà comment ça c'est passé.
J'appelle mon pote.
mon pote (mp): Allo?
moi: Tu veux aller aux cinoche?
mp: bof non.
moi: ok a plus.
Je raccroche. Puis je re-appelle.
mp: Allo?
moi: bon a défaut d'aller au ciné on peut peut être se voir quand même.
mp: ouais pas de problème !
moi: ok j'arrive, je ramène mes rollers.
mp: ok cool !
Bon il est 21h, il me faut 35 minutes pour aller à Paris. J'ai pas mangé, j'ai pas de frein à mon roller, c'est la fête.
Je décide de faire un bilan complet de mes compétences de bricolo. Attention papa bricole.
J'ai deux paires de roller, ouais je sais annoncer comme ça c'est limite si je crâne pas un peu, mais en fait c'est juste pour dire que je voulais prendre le frein de ma première paire pour le mettre sur la deuxième. Logique, efficace, implacable.
Mais voilà, c'est pas le même modèle. J'essaye tant bien que mal de forcer sur la vis pour que le frein tienne, et à force de forcer... j'ai pété la vis.
Voilà, donc ça c'est fait au moins maintenant c'est sur j'aurais pas de frein du tout.
Ca sera donc l'occasion d'apprendre à freiner avec la technique de "je fous mes roues perpendiculairement".
Bon j'engloutis 3 ou 4 napolitains (ça c'est pour le repas diététique avant l'effort, hyper important.) et roule ma poule.
Bon, j'arrive à Paris, je galère pour me garer vers Panthéon, ça c'est normal un vendredi soir.
J'arrive chez mon pote, il est 22hkekchose, tout va bien.
Bon, on chausse, on prend l'ascenseur (4 étages en roller par les escaliers? Plan foireux...)
Et nous voilà dans paris en train de rouler. Youppiiii ca va viiiiiiiite, c'est chouueeeeeeette, j'ai pas de freeeeiiiiiiiiiiiiin !!!
Comme il se doit, je me suis mis les protections aux poignets. Je me suis dis comme ça au moins même si je me casse la gueule je pourrais toujours faire de la guitare et de l'ordi (ou l'inverse...).
Comme nous sommes deux garçons pleins de courage, nous avons entrepris de faire le tour du jardin du Luxembourg. Arrivé de l'autre coté, rue Vavin, on a décidé qu'il était temps de manger une bonne glace.
*** Pause réclame ***
Pour manger une bonne glace dans Paris, il n'y a pas 36 solutions. Il existe une boutique qui s'appelle Amorino (Gelati e delizie d'Italia). Les glaces sont hypeeeeer bonnes, et pas chères!
Il y en a plusieurs dans Paris, mais je connais que celle rue Vavin.
*** fin réclame***
Pendant qu'on attends pour acheter nos délices glacés (ouais c'est plus de la simple glace, c'est de la cuisine moderne), nous en profitons pour amuser la galerie. Notamment quand j’entreprends de passer ma commande en Italien, ce qui est particulièrement audacieux sachant que je ne parle pas un mot de cette langue.
Bilan, j'ai quand même eu ma glace.
On s'assois pour les manger et la soudain nous viens une idée (bon pas forcément une bonne idée, mais une idée tout de même). Moi j'ai des rollers In-line et mon pote des Quads. Nous décidons qu'il est temps de dire "non" aux préjugés. Il me passe son roller droit et je lui passe le mien.
Comme ça, on réconcilie deux générations de rollers qui se font la gueule depuis... depuis des générations !
Et ben tu devineras jamais, mais c'est super casse gueule de faire du In-line à gauche et du Quad à droite. Au bout de200 mètres on décide que
finalement on va plutôt terminer nos échanges. Je lui donne mon roller gauche
et lui pareil.
Ca faisait facilement 10 ans que j'avais pas fais de Quad, et mon pote n'avait jamais fais d'In-line.
Oh la belle paire de bras cassés que voilà. On avait l'air de gros débutants a gesticuler dans tous les sens en quête d'un quelconque équilibre. Et en plus comme si ça ne suffisait pas on hurlait comme des veaux.
Bon au bout de200 mètres
nous décidons d'un commun accord qu'il est temps de récupérer nos propriétés
respectives.
Pendant qu'on se change, un couple de piétons (tous des nuls les piétons) passe en nous disant "Hey mais c'est pas par la, la ballade en roller !"
Je réponds "Ouais mais nous on est des indépendants du roller, on est contre les gros majors ! Vive le Roller libre !!!"
Sur quoi ils ont sûrement répondu quelque chose mais comme mon pote et moi on continuait sur le délire, j'ai sûrement pas entendu.
Bon nous voilà repartis. On se ballade dans les rues, allant comme ça la ou le vent et nos cuisses nous poussent. M'enfin surtout nos cuisses quand même.
Et puis là d'un coup mon pote dit "oh une rue en pente!!" Mauvaise idée...
La rue en pente fait facilement 8° d'inclinaison et se termine par un gros (GROS) mur. Voilà donc que je m'engage dans cette rue avec le sentiment que je vais avoir bien du mal à m'arrêter.
D'ailleurs plus je descends, plus j'accélère. Arrivé à mi parcours je me dis que c'est vraiment un plan de merde, j'ai le choix entre me fracasser contre le mur au bout de la rue, ou me fracasser maintenant contre un mur le long de la rue.
Je prends l'option numéro 2.
Un choix uniquement motivé par l'espoir que je tomberais pas forcément.
Je vise un angle de porte, je mets les mains en avant, je sers les fesses, les dents et puis tout ce qui peut être serré.
Je touche le mur, je rebondis, je bascule, je touche le sol avec le cul, avec le dos, avec l'arrière du crâne...j'ai mal.
Mon pote, qui n'a pas vu ma chute, me dit un truc style "Ouah relou, y a plein de pavés" je lui répond "C'est pas tellement grave, j'avance plus..."
La dessus, des gens qui étaient dans la rue sont venus voir si je vais bien.
Bon manifestement je vais bien puisque je suis encore capable de dire des conneries. J'ai juste un peu mal à la tête, aux coudes, au cul... enfin un peu partout quoi.
Et puis surtout j'ai l'impression que mes yeux ont furieusement envie de sortir de leur orbites.
Bon je me tripote l'arrière de la tête, pas de sang. Bien. C'est déjà ça.
Après une petite pose nous voilà repartis (ce qui nous tue pas nous rend plus fort Mais ce qui nous tue nous rend plus mort...) à travers les rues (plates, ou alors très peu pentues) de Paris.
Comme toujours quand je fais du roller je suis euphorique, je parle à n'importe qui, je chante, je rigole.
On passe devant un groupe de filles, arrivé à leur hauteur je les pointe du doigts en gueulant "Je te survivrais, d'un amour plus fort !!!"
J'ai eu le droit à des acclamations, des vivats et j'ai continué ma route.
Au bout d'un moment, on décide qu'il est temps de rentrer. On passe par rue Mouffetard et par la place de la contre escarpe.
Un coin qu'il est sympa pour y passer la soirée, mais pas du tout pour faire du roller.
Pourquoi? Sur la route des pavés gros comme la prise dela Bastille , et les trottoirs
sont rachitiques, et de toutes façon blindés de monde. Je passe donc mon temps
à marcher au lieu de rouler, et mon pote lui il a déchaussé...
Aux dires de mon potes, j'ai fait marrer tout le monde dans cette rue, c'est un métier de faire le bouffon faut pas croire.
Enfin, on arrive devant chez lui, on rentre. Fin de l'aventure.
Bilan c'était une sortie bien sympathique, on a bien rigolé m'enfin il faut vraiment que je m'achète un frein...
Désolé ami lecteur(trice) si tu n'es pas Parisien(enne) l'énoncé des rues et quartiers à du te passer largement au dessus de la tête. Bon la prochaine fois je ferais une vidéo, comme ça tout le monde il sera content !
Soit ne rien faire et terminer la soirée avec une migraine, parce que rester trop devant un écran d'ordi ça me retourne le cerveau.
Soit me motiver un coup et aller sur Paris.
Bon je t'apprend rien, tu a lu le titre, tu sais donc ce que j'ai fais, mais voilà comment ça c'est passé.
J'appelle mon pote.
mon pote (mp): Allo?
moi: Tu veux aller aux cinoche?
mp: bof non.
moi: ok a plus.
Je raccroche. Puis je re-appelle.
mp: Allo?
moi: bon a défaut d'aller au ciné on peut peut être se voir quand même.
mp: ouais pas de problème !
moi: ok j'arrive, je ramène mes rollers.
mp: ok cool !
Bon il est 21h, il me faut 35 minutes pour aller à Paris. J'ai pas mangé, j'ai pas de frein à mon roller, c'est la fête.
Je décide de faire un bilan complet de mes compétences de bricolo. Attention papa bricole.
J'ai deux paires de roller, ouais je sais annoncer comme ça c'est limite si je crâne pas un peu, mais en fait c'est juste pour dire que je voulais prendre le frein de ma première paire pour le mettre sur la deuxième. Logique, efficace, implacable.
Mais voilà, c'est pas le même modèle. J'essaye tant bien que mal de forcer sur la vis pour que le frein tienne, et à force de forcer... j'ai pété la vis.
Voilà, donc ça c'est fait au moins maintenant c'est sur j'aurais pas de frein du tout.
Ca sera donc l'occasion d'apprendre à freiner avec la technique de "je fous mes roues perpendiculairement".
Bon j'engloutis 3 ou 4 napolitains (ça c'est pour le repas diététique avant l'effort, hyper important.) et roule ma poule.
Bon, j'arrive à Paris, je galère pour me garer vers Panthéon, ça c'est normal un vendredi soir.
J'arrive chez mon pote, il est 22hkekchose, tout va bien.
Bon, on chausse, on prend l'ascenseur (4 étages en roller par les escaliers? Plan foireux...)
Et nous voilà dans paris en train de rouler. Youppiiii ca va viiiiiiiite, c'est chouueeeeeeette, j'ai pas de freeeeiiiiiiiiiiiiin !!!
Comme il se doit, je me suis mis les protections aux poignets. Je me suis dis comme ça au moins même si je me casse la gueule je pourrais toujours faire de la guitare et de l'ordi (ou l'inverse...).
Comme nous sommes deux garçons pleins de courage, nous avons entrepris de faire le tour du jardin du Luxembourg. Arrivé de l'autre coté, rue Vavin, on a décidé qu'il était temps de manger une bonne glace.
*** Pause réclame ***
Pour manger une bonne glace dans Paris, il n'y a pas 36 solutions. Il existe une boutique qui s'appelle Amorino (Gelati e delizie d'Italia). Les glaces sont hypeeeeer bonnes, et pas chères!
Il y en a plusieurs dans Paris, mais je connais que celle rue Vavin.
*** fin réclame***
Pendant qu'on attends pour acheter nos délices glacés (ouais c'est plus de la simple glace, c'est de la cuisine moderne), nous en profitons pour amuser la galerie. Notamment quand j’entreprends de passer ma commande en Italien, ce qui est particulièrement audacieux sachant que je ne parle pas un mot de cette langue.
Bilan, j'ai quand même eu ma glace.
On s'assois pour les manger et la soudain nous viens une idée (bon pas forcément une bonne idée, mais une idée tout de même). Moi j'ai des rollers In-line et mon pote des Quads. Nous décidons qu'il est temps de dire "non" aux préjugés. Il me passe son roller droit et je lui passe le mien.
Comme ça, on réconcilie deux générations de rollers qui se font la gueule depuis... depuis des générations !
Et ben tu devineras jamais, mais c'est super casse gueule de faire du In-line à gauche et du Quad à droite. Au bout de
Ca faisait facilement 10 ans que j'avais pas fais de Quad, et mon pote n'avait jamais fais d'In-line.
Oh la belle paire de bras cassés que voilà. On avait l'air de gros débutants a gesticuler dans tous les sens en quête d'un quelconque équilibre. Et en plus comme si ça ne suffisait pas on hurlait comme des veaux.
Bon au bout de
Pendant qu'on se change, un couple de piétons (tous des nuls les piétons) passe en nous disant "Hey mais c'est pas par la, la ballade en roller !"
Je réponds "Ouais mais nous on est des indépendants du roller, on est contre les gros majors ! Vive le Roller libre !!!"
Sur quoi ils ont sûrement répondu quelque chose mais comme mon pote et moi on continuait sur le délire, j'ai sûrement pas entendu.
Bon nous voilà repartis. On se ballade dans les rues, allant comme ça la ou le vent et nos cuisses nous poussent. M'enfin surtout nos cuisses quand même.
Et puis là d'un coup mon pote dit "oh une rue en pente!!" Mauvaise idée...
La rue en pente fait facilement 8° d'inclinaison et se termine par un gros (GROS) mur. Voilà donc que je m'engage dans cette rue avec le sentiment que je vais avoir bien du mal à m'arrêter.
D'ailleurs plus je descends, plus j'accélère. Arrivé à mi parcours je me dis que c'est vraiment un plan de merde, j'ai le choix entre me fracasser contre le mur au bout de la rue, ou me fracasser maintenant contre un mur le long de la rue.
Je prends l'option numéro 2.
Un choix uniquement motivé par l'espoir que je tomberais pas forcément.
Je vise un angle de porte, je mets les mains en avant, je sers les fesses, les dents et puis tout ce qui peut être serré.
Je touche le mur, je rebondis, je bascule, je touche le sol avec le cul, avec le dos, avec l'arrière du crâne...j'ai mal.
Mon pote, qui n'a pas vu ma chute, me dit un truc style "Ouah relou, y a plein de pavés" je lui répond "C'est pas tellement grave, j'avance plus..."
La dessus, des gens qui étaient dans la rue sont venus voir si je vais bien.
Bon manifestement je vais bien puisque je suis encore capable de dire des conneries. J'ai juste un peu mal à la tête, aux coudes, au cul... enfin un peu partout quoi.
Et puis surtout j'ai l'impression que mes yeux ont furieusement envie de sortir de leur orbites.
Bon je me tripote l'arrière de la tête, pas de sang. Bien. C'est déjà ça.
Après une petite pose nous voilà repartis (ce qui nous tue pas nous rend plus fort Mais ce qui nous tue nous rend plus mort...) à travers les rues (plates, ou alors très peu pentues) de Paris.
Comme toujours quand je fais du roller je suis euphorique, je parle à n'importe qui, je chante, je rigole.
On passe devant un groupe de filles, arrivé à leur hauteur je les pointe du doigts en gueulant "Je te survivrais, d'un amour plus fort !!!"
J'ai eu le droit à des acclamations, des vivats et j'ai continué ma route.
Au bout d'un moment, on décide qu'il est temps de rentrer. On passe par rue Mouffetard et par la place de la contre escarpe.
Un coin qu'il est sympa pour y passer la soirée, mais pas du tout pour faire du roller.
Pourquoi? Sur la route des pavés gros comme la prise de
Aux dires de mon potes, j'ai fait marrer tout le monde dans cette rue, c'est un métier de faire le bouffon faut pas croire.
Enfin, on arrive devant chez lui, on rentre. Fin de l'aventure.
Bilan c'était une sortie bien sympathique, on a bien rigolé m'enfin il faut vraiment que je m'achète un frein...
Désolé ami lecteur(trice) si tu n'es pas Parisien(enne) l'énoncé des rues et quartiers à du te passer largement au dessus de la tête. Bon la prochaine fois je ferais une vidéo, comme ça tout le monde il sera content !
Ecrit par manzin, le Samedi 20 Août 2005, 19:32 dans la rubrique Actualités.
Commentaires :
C'est ce que j'appelle "un grand moment"...
J'ai même réussi a imaginer ta chute au ralenti ! et... ça fait son p'tit effet !
J'ai même réussi a imaginer ta chute au ralenti ! et... ça fait son p'tit effet !
Encore moi...
Salut Nicolas... Je ne réponds pas à ton article sur ta soirée à Paris, je l'ai seulement lu pour le plaisir de lire quelqu'un qui passe ses soirées à PARIS!!! Ça fait longtemps que je ne suis pas allée en France.
Quoi qu'il en soit, nous avons eu un petit débat concernant la numérologie... et j'ai reçu ta réponse. Bien que la fin de ta réponse ait été effacée pour une raison qui m'est inconnue (je suis nulle en informatique), j'ai quand-même compris l'idée générale. Alors, d'abord, je n'ai pas dit que j'étais si fine psychologue, au point de savoir si ton étude numérologique était juste ou non, j'ai simplement dit qu'en me basant sur un seul et unique texte de toi, les prédictions ne me semblaient pas si fausses que ça! En tout cas, c'est ce que j'ai essayé de dire. Et puis, qu'importe ce que j'ai essayé de dire, je me suis surtout portée à la défense de l'ouverture d'esprit, à tous les niveaux. Tu me dis que tu ne vois pas pourquoi notre nom influencerait notre destin et pourquoi des chiffres auraient une quelconque signification autre que celle qui est évidente, mais sur quoi te bases-tu pour décider ça? Parce que ça ne semble pas raisonnable? Les 3/4 de la vie sont déraisonnables, Nicolas.
Bref, je ne veux pas étirer ce débat plus longtemps que nécessaire. En réalité, je voulais te dire que j'ai conscience d'avoir été plutôt impolie dans ma façon de répliquer à ton article et j'en suis désolée. Après tout, je suis tombée sur ton site tout à fait par hasard et c'est bien vrai, qui suis-je pour t'engueuler, seulement parce que je ne partage pas ton avis? J'ai eu l'occasion de visiter le reste de ton site plus tard et je vois que tu écris tes oppinions sur une variété de sujets, il n'y a rien de mal à ça, c'est même plutôt sympathique... Donc, bien que je reste sur mes positions, j'espère que c'est sans rancune.
Quoi qu'il en soit, nous avons eu un petit débat concernant la numérologie... et j'ai reçu ta réponse. Bien que la fin de ta réponse ait été effacée pour une raison qui m'est inconnue (je suis nulle en informatique), j'ai quand-même compris l'idée générale. Alors, d'abord, je n'ai pas dit que j'étais si fine psychologue, au point de savoir si ton étude numérologique était juste ou non, j'ai simplement dit qu'en me basant sur un seul et unique texte de toi, les prédictions ne me semblaient pas si fausses que ça! En tout cas, c'est ce que j'ai essayé de dire. Et puis, qu'importe ce que j'ai essayé de dire, je me suis surtout portée à la défense de l'ouverture d'esprit, à tous les niveaux. Tu me dis que tu ne vois pas pourquoi notre nom influencerait notre destin et pourquoi des chiffres auraient une quelconque signification autre que celle qui est évidente, mais sur quoi te bases-tu pour décider ça? Parce que ça ne semble pas raisonnable? Les 3/4 de la vie sont déraisonnables, Nicolas.
Bref, je ne veux pas étirer ce débat plus longtemps que nécessaire. En réalité, je voulais te dire que j'ai conscience d'avoir été plutôt impolie dans ma façon de répliquer à ton article et j'en suis désolée. Après tout, je suis tombée sur ton site tout à fait par hasard et c'est bien vrai, qui suis-je pour t'engueuler, seulement parce que je ne partage pas ton avis? J'ai eu l'occasion de visiter le reste de ton site plus tard et je vois que tu écris tes oppinions sur une variété de sujets, il n'y a rien de mal à ça, c'est même plutôt sympathique... Donc, bien que je reste sur mes positions, j'espère que c'est sans rancune.
Re: Encore moi...
Sans rancune aucune biensur.
Je suis plutôt content quand quelqu'un me laisse un commentaire de toute façon, alors c'est cool, no soucy.
Chacun son point de vu :)
A bientôt
Je suis plutôt content quand quelqu'un me laisse un commentaire de toute façon, alors c'est cool, no soucy.
Chacun son point de vu :)
A bientôt
cyrinx
Ah oui la vidéo, ça manque là ! Pas tellement pour les rues de Paris, mais pour les accidents de roller nocturne (qu'est-ce que j'ai aujourd'hui à avoir soudainement envie de voir des inconnus se gameller ? ça doit être ma touche sadique qui ressort...)
Et puis si ils te recalent à jackasse, tu pourras tjs envoyer tes exploits à vidéo gag